Influence sur la lecture

Une forte consommation télévisuelle en fin de maternelle prédit des difficultés en lecture à l’entrée en CM2. •(ENNEMOSER M. et al., “Relations of television viewing and reading: findings from a 4-year longitudinal study”,journal of Educational Psychology, no 99, 2007, p. 349 et passim.)

Les enfants qui ont chez eux un téléviseur allumé en permanence ont 3 fois plus de chances de ne pas savoir lire à la fin du CP. •VANDEWATER E.A. et al., « When the television is always on: heavy television exposure and young children’s development », Am. Behav. Sei., no 48, 2005, p. 562 et passim.

Ces enfants regardent la tv 94 minutes (au lieu de 52 min.)et lisent 35 minutes (au lieu de 79 min.). Les enfants de 3 à 4 ans passent dans ce cas moins de temps en présence de livres (34 minutes au lieu de 43). •TOMOPOULOS S. et al., « ls exposure to media intended for preschool children associated with less parent-child shared reading aloud and teaching activities? », Ambul. Pediatr., no 7, 2007, p. 18 et passim.

La pratique de la lecture à l’âge adulte trouve ses racines dans l’enfance

Les déficits précoces d’apprentissage du code écrit sont difficiles à effacer. La tv qui est introduite tardivement dans un foyer ne dégrade pas les aptitudes acquises en terme de lecture. •JOHNSON P. et al., « Remediation », in BARR R. et al. (sous la direction de), Handbook of Reading Research, Longman, 1991, vol. Il, p. 984.et passim. •JUEL C., « Learning to read and write: a longitudinal study of 54 children from first through fourth grades»,]. Educ. Psycho!., no 80, 1988, p. 437 et passim. 

Les enfants qui ont chez eux un téléviseur allumé en permanence ont 3 fois plus de chances de ne pas savoir lire à la fin du CP. •VANDEWATER E.A. et al., « When the television is always on: heavy television exposure and young children’s development », Am. Behav. Sei., no 48, 2005, p. 562 et passim.

Ces enfants regardent la tv 94 minutes (au lieu de 52 min.)et lisent 35 minutes (au lieu de 79 min.). Les enfants de 3 à 4 ans passent dans ce cas moins de temps en présence de livres (34 minutes au lieu de 43). •TOMOPOULOS S. et al., « ls exposure to media intended for preschool children associated with less parent-child shared reading aloud and teaching activities? », Ambul. Pediatr., no 7, 2007, p. 18 et passim.

La pratique de la lecture à l’âge adulte trouve ses racines dans l’enfance

Les déficits précoces d’apprentissage du code écrit sont difficiles à effacer. La tv qui est introduite tardivement dans un foyer ne dégrade pas les aptitudes acquises en terme de lecture. •JOHNSON P. et al., « Remediation », in BARR R. et al. (sous la direction de), Handbook of Reading Research, Longman, 1991, vol. Il, p. 984.et passim. •JUEL C., « Learning to read and write: a longitudinal study of 54 children from first through fourth grades»,]. Educ. Psycho!., no 80, 1988, p. 437 et passim. 

En 25 ans, la proportion d’individus lisant régulièrement un journal est passée de 30 à 18%; ceux consommant 20 livres par an est passée de 33 à 17%. Celle consacrant au moins 3 heures à des activités audio visuelles est passée de 24 à 32%.

DONNAT O. et al., « Approche générationnelle des pratiques culturelles et Médiatiques », DEPS, ministère de la Culture et de la Communication, juin 2007, accès 21 septembre 2009, http:/ /www2.cu!ture.gouv.fr/culture/deps/2008/pdf/Cprospective07_3.pdf, p. 1.